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Le Nid de Brebis


jeudi 13 février 2014

Pour sauver ses chèvres, elle lance un appel sur... Facebook - Valais - Actualités - Le Nouvelliste Online - Quotidien Valaisan

Pour sauver ses chèvres, elle lance un appel sur... Facebook - Valais - Actualités - Le Nouvelliste Online - Quotidien Valaisan

Bérangère Carron doit faire correspondre ses installations aux normes en vigueur. Faute de fonds propres, elle cherche des solutions sur les réseaux sociaux.
«Ce n’est pas facile de faire cette démarche mais je crois en la force de Facebook. Voilà, je m’appelle Bérangère, j’ai 35 ans et depuis 2009 j’ai lancé mon exploitation agricole. Actuellement, je possède 32 chèvres, 3 vaches, 4 ânes, 2 chevaux. Mon exploitation est autonome d’un point de vue financier. Depuis 2010 je dois me mettre en règle concernant mes installations et j’ai donc un projet de construction. Malheureusement, les fonds propres que j’ai sont bien maigres et ne suffiront pas pour ouvrir les portes des instances bancaires pour obtenir un prêt pour la construction. Je demande donc aujourd’hui, à toutes les personnes touchées par mon histoire, si elles le peuvent, à m’aider pour trouver les fonds propres manquants.»
Cet appel vient d’être lancé sur Facebook par Bérangère Carron, une agricultrice de Fully. «Si j’ai besoin d’aide, ce n’est pas pour nourrir mes bêtes. Mon exploitation fonctionne bien», tient-elle à préciser. Mais un couperet la menace. Il pourrait tomber et mettre un terme à tous les rêves à la fin mars.
Le problème de Bérangère Carron est qu’elle doit mettre son exploitation aux normes.  Située à Charrat à proximité du Rhône, en zone de danger moyen, elle doit monter une structure en béton ou construire une butte pour protéger ses bêtes des crues, ce qui renchérit énormément le coût des travaux. Un projet doit être déposé avant la fin du mois prochain, faute de quoi, l’agricultrice se verra contrainte de prendre congé de ses bêtes..
N’y aurait-il pas d’autres possibilités, comme construire ailleurs? La jeune femme y a évidemment pensé, mais sans succès. «J’ai essayé de me déplacer à Saillon. Tout était top. Il était même possible de développer de l’agritourisme. Mais je détiens des boucs. Il faut 77 mètres entre l’animal et le premier bâtiment voisin, en raison de l’odeur. Et j’ai des ânes, il faut aussi des distances pour le bruit. J’ai dû abandonner ce projet… Je ne possède pas d’autres terrains. Si quelqu’un m’en propose un, pour un échange par exemple, je suis partante.»
Bérangère Carron tente toutes les pistes. «Au point où j’en suis, j’essaie tout. J’ai monté un élevage et ma famille y a beaucoup sacrifié. Je ne peux pas tout arrêter aujourd’hui.» D’où l’appel lancé sur Facebook par cette mère de famille.

mercredi 5 février 2014

Rassemblement du Chien Berger de Crau

Bonjour à tous, 
Le 12 février prochain à lieu la Foire de la St Valentin de St Martin de Crau (8h30-13h).
A ce titre nous allons procéder comme l'année dernière à un rassemblement de Chiens de Crau. Vous pourrez y déclarer les chiens non recensés, prendre contact avec d'autres propriétaires...
Attention! nous allons procéder aussi au puçage gratuit des chiens mais uniquement de 10h à 11h. Si vous avez des chiens à pucer, notez bien cet horaire.
J'espère vous voir nombreux. Merci de diffuuser l'information
D'ici là n'hésitez pas à me contacter.
Bien cordialement, 

-- 
Association de Sauvegarde du Chien Berger de Crau
Av. de Céret 13310 Saint-Martin-de-Crau
04 90 47 99 54 - 06 71 76 31 92

samedi 1 février 2014

Pétition pour la création d’un statut légal du WWOOFing auprès de la MSA et l’abandon des poursuites judiciaires contre les hôtes wwoof. | Change.org

Pétition | Pétition pour la création d’un statut légal du WWOOFing auprès de la MSA et l’abandon des poursuites judiciaires contre les hôtes wwoof. | Change.org

Pétition pour la création d’un statut légal du WWOOFing auprès de la MSA et l’abandon des poursuites judiciaires contre les hôtes wwoof.

    1.  
    2. Pétition de

L’attitude de la MSA pose un grave problème pour notre démocratie en France !

Le Gouvernement, sur son site Internet, invite à faire du WWOOFing.
Un agriculteur qui suit ces recommandations se fait traîner devant la justice par la MSA avec le motif : Absence de cadre juridique pour le WWOOFing.

C’est un scandale dans une démocratie !
Le WWOOFing a pris sa place dans notre société. Je demande à la MSA (mutualité sociale agricole) de créer une déclaration tenant compte de sa particularité, et d'abandonner toutes poursuites contre le WWOOFing en France.
Le wwoofing, ce mouvement international favorisant la découverte et l’initiation au monde de l’agriculture biologique et à l’éco construction, se développe en France. (WWOOF = world wide opportunities on organic farms). Le wwoofer, qui est accueilli gracieusement dans la famille d’un agriculteur bio, l’hôte wwoof, a comme seule obligation de vouloir sincèrement découvrir et participer à la vie et au travail de ce dernier. Il l’accompagne donc dans son quotidien pour comprendre ce que c’est d’être agriculteur bio et il a la possibilité, selon ses souhaits et ses capacités de donner librement et de façon bénévole un coup de main et de s’exercer aux techniques de travail qu’il découvre. Il ne s’agit en aucun cas d’une situation de travail car aucun lien de subordination n’existe. Or, le droit du travail stipule : « pour qu’il y ait travail dissimulé, il faut qu’il y ait un lien de subordination ». Le Ministère de l’Agriculture prône la pratique du wwoofing dans son article : http://agriculture.gouv.fr/generation-wwoofers qui conclut sur ces mots :
« Le wwoofing ne consiste pas seulement à traire vaches ou chèvres, cueillir quelques mûres pour les confitures, réparer une clôture ou débroussailler un champ... Plus qu’une simple expérience à la ferme et un logement gratuit, c’est d’abord un échange humain, une preuve que des notions comme la tolérance ou la confiance existent encore. »
Malgré cela, la MSA reste hostile à cet échange et à cette découverte qui a pourtant permis à de nombreuses personnes après une période de wwoofing de finir par apprendre le métier et de s’installer comme agriculteur bio. Encore aujourd’hui, il arrive que la MSA considère le wwoofing comme du travail dissimulé et qu’elle menace les hôtes wwoof de poursuites judiciaires. Voir : (http://www.msa.fr/lfr/embauche/wwoofing). Dans une démocratie, son premier devoir c’est de se tourner vers le Gouvernement pour régler le problème d’ordre administratif qu’elle rencontre.
En signant cette pétition, je demande aux pouvoirs publics et à la MSA de donner un statut légal au wwoofing en mettant en place une déclaration auprès de la MSA d’un aide agricole bénévole non rémunéré et non soumis à une quelconque efficacité professionnelle et qui, dans le respect du bon déroulement des activités de l’exploitation, reste libre de ses décisions et de ses faits et gestes. Des cotisations perçues par la MSA devront servir exclusivement à assurer les personnes contre les risques d’accident liés à cette activité.
Je soutiens cette pétition car je considère que le wwoofing est utile pour notre société en divulguant les connaissances et techniques de travail de l’agriculture biologique et de l’éco construction auprès d’un large public et en contribuant ainsi à une évolution harmonieuse de celle-ci.